Pour ceux qui ont lu les
aventures de Yeruldelgger, le héros de Ian Manook, il n'est pas trop
difficile de s'imaginer Oulan-Bator, la capitale de la Mongolie. Et
pourtant la réalité reste très dépaysante. En arrivant de Moscou
par avion on survole une steppe assez aride puis on a le temps
d'apercevoir quelques groupements de yourtes avant de se poser à
l'aéroport Gengis Khan. On rejoint alors la ville qui émerge
difficilement d'un épais brouillard de pollution par une sorte de
voie rapide. Les voitures roulent à droite, mais la majorité ont le
volant à droite et quelques unes à gauche. (Cela devrait changer
avec l'élection de Macron, ils parlent de mettre le volant au..
milieu!).
On traverse alors une
partie d'immeubles collectifs très typés soviétiques, qui ont mal
vieilli, avant d'arriver à de nouveaux quartiers symboles d'une
ouverture au marché : grands ensembles modernes. Malgré
l' écriture cyrillique qui nous déroute beaucoup, on reconnaît
dans ces quartiers les marques connues mondialement. Après avoir
longé l'imposant parlement, on arrive dans un quartier plus
tranquille où se trouve notre hôtel. On avisité cette ville de 1,6
millions d'habitants (soit la moitié de la population Mongole), en
commençant par le musée d'histoire avec notre guide Tulga, qui nous
a raconté l'histoire de son pays. Ensuite, sous une chaleur
accablante on a parcouru la place du parlement où des élèves de
plusieurs écoles fêtaient leur remise de diplôme...
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Arrivée à l'aéroport |
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Le musée |
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Le parlement |
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Contraste entre la ville historique et la ville moderne |
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Le drapeau mongol flotte sur le parlement. |
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