Pour rentrer à Salta
depuis Cafayate,il nous reste à traverser une dernière Québrada
(ravin pourrait être la traduction...selon Marion S). Après avoir
laissé les dernières vignes, on aborde d'abord un paysage de dunes
de sable jaune puis très vite on pénètre dans une sorte de canyon
de terre rouge. La nature s'en est donné à cœur joie pour dessiner
des formes plus bizarres les unes que les autres. Certaines
(l'obélisque, le crapaud...) sont identifiées sous leur nom pour le
reste c'est votre imagination qui décide.. Forcément les arrêts
photos sont nombreux et on n'est pas les seuls à pénétrer sur
certains sites. Même les camionneurs chiliens qui roulent en convoi
de cinq ou six semis s'arrêtent pour visiter. La route suit un rio
qui coule faiblement dans un lit immense, et on a du mal à imaginer
le même en saison des pluies. Pourtant il doit être violent car il
vient souvent ronger la falaise sous la route et en a même emporté
une bonne partie...
On poursuit notre route
jusqu'à Salta, la capitale de région (500 000 habitants). On
décharge nos bagages à l'hôtel et on va rendre la voiture :
très poussiéreuse, certes, mais absolument pas égratignée !
Un miracle...
L'après midi, on visite
un peu, mais comme on y reste aussi demain, cela fera l'objet d'un
autre post...
La garganto del diablo |
La route emportée... |
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